Ici l’Onde s’associe au programme de cours d’initiation à l’histoire de l’art contemporain proposé depuis quelques années par le Consortium Museum, pour en proposer un pendant musical.

À partir de quand l’art est-il devenu contemporain ? La musique du futur a-t-elle un avenir ? Emilie Fourny, chargée du service des publics au Consortium Museum, et Nicolas Thirion, musicien et directeur artistique d’Ici l’Onde, livrent des clés de lecture pour analyser la production artistique actuelle avec un socle de connaissances historiques et théoriques. 

 

Destinées à des spectateurs curieux, ces six séances – présentant alternativement art et musique – ne nécessitent aucun prérequis. 

Les participants peuvent assister à l’ensemble du cycle ou s’inscrire aux séances de leur choix.

 

 

 

PROGRAMME

 

Lundi 20 février 2023 à 18h30-20h30

Histoire de l’art : l’art, quelle définition ?

Les origines, de la modernité aux avant-gardes

 

 

Lundi 27 février 2023 à 18h30-20h30

Musique : à la conquête des sons inouïs

Pourquoi et comment les technologies du XXe siècle ont permis aux artistes de démultiplier les possibilités de création : lutheries électroniques, projections sonores, sound design…

 

 

Lundi 6 mars 2023 à 18h30-20h30

Histoire de l’art : nouveaux médiums et nouvelles formes d’œuvres

Les grands courants des années 1960 aux années 1980

 

 

Lundi 13 mars 2023 à 18h30-20h30

Musique : glossolalies, les nouveaux langages musicaux

Pourquoi et comment les artistes, compositeurs, interprètes, improvisateurs ont fait exploser les écritures musicales savantes ou populaires pour inventer des langages musicaux nouveaux : dodécaphonisme, sérialisme, spectralisme, microtonalité, partitions graphiques et protocolaires…

 

 

Lundi 20 mars 2023 à 18h30-20h30

Histoire de l’art : des pratiques éclectiques dans un monde globalisé

L’art contemporain des années 1980 à aujourd’hui

 

 

Lundi 27 mars 2023 à 18h30-20h30

Musique : la musique du futur a-t-elle encore un avenir ?

Les nouveaux territoires musicaux à explorer à l’ère du post-everything